Conclusion

 

 

 

 

Conclusion

 

 

 

  Comme nous venons de le voir, les méthodes d'analyse sont de plus en plus sûres. Une preuve en elle-même, comme c'est le cas de l'empreinte digitale, est fiable à 100%. Il est donc pratiquement impossible de manipuler celle-ci puisqu'elle est unique et indélébile. Pour ce qui concerne l'empreinte génétique, technique en plein essor, elle a 1 chance sur 1 milliard de rencontrer un doublon.
  De ce fait, les techniques d'investigation que nous avons abordées se montrent stables et assurées dans leur stricte pratique. De plus, les critères d'application en vigueur en France réduisent la marge d'erreurs potentielles car ils imposent douze minuties pour les empreintes digitales et dix marqueurs pour les empreintes génétiques.
  On peut ainsi en déduire que les scientifiques, conscients des limites de leurs techniques, s'astreignent à éprouver leurs outils en évaluant leur taux de fiabilité. Il n'en reste pas moins vrai que subsistent des erreurs car l'informatique  ne peut pas prendre en compte des paramètres extérieurs telles les cicatrices et les coupures dans le cas des empreintes digitales.
 En outre, l'être humain n'est pas infaillible et c'est à lui que revient l'interprétation des données dans une enquête. Il doit néanmoins mettre en oeuvre ses capacités de contrôle : son savoir-faire doit être supervisé par la raison humaine, seul outil de réflexion apte à donner un sens à des résultats.

 

En espérant que notre TPE vous a plu et que vos interrogations sur la police scientifique on étaient éclaireés.

Un grand remerciement à mademoiselle Lebon, madame Denner, monsieur Boos et l'ensemble de l'encadrement pour ces TPE.

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